11 janvier 2010, 0h00
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Beaucoup d’étrangers fortunés n’ont plus confiance dans leur pays surendetté ou ayant quasiment nationalisé son système bancaire. Il n’est pas impossible que, soucieux avant tout de préserver leur capital, ils choisissent le bastion helvétique pour le placer. Il s’agit souvent de clients «tax non relevant», donc de personnes qui ont fiscalisé leurs avoirs dans leur pays d’origine. Ils confieront leur argent soit à des banques autochtones, soit aux représentants locaux d’un des nombreux groupes i...
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