09 décembre 2008, 0h00
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C’est sans doute vrai! Il y a quelque chose de profondément insatisfaisant pour un Parlement à devoir se prononcer après coup sur un plan de sauvetage d’UBS, ficelé dans une situation des plus précaires et qui reçoit pour seul légitimation l’aval de la délégation des finances formée d’une poignée de parlementaires. Mais s’il est toujours facile de se montrer plus intelligent après coup, un renvoi, hier, du paquet concocté par le Conseil fédéral, la Commission fédérale des Banques (CFB) et la Ban...
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