07 mars 2001, 0h00
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Il est probable que le conseiller fédéral Villiger ait inutilement bradé un nouveau morceau de la souveraineté suisse en autorisant les banques et tous les «intermédiaires qualifiés», dans une lettre du 7 novembre 2000, à se soumettre en Suisse aux exigences du fisc américain, l’Internal Revenue System, ou IRS.
Ce faisant, le conseiller fédéral cédait aux pressions des grandes banques qui, désirant travailler aux Etats-Unis, se pliaient à l’IRS qui demande à ses contribuables de payer leurs impô...
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