09 juillet 2007, 0h00
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Même si Dominique Strauss-Kahn n’est pas nommé à la tête du FMI, la manière dont Nicolas Sarkozy l’a recommandé pour ce poste suscite une certaine admiration. En affichant ouvertement sa préférence pour un socialiste à la tête de cette institution financière, le président français met en évidence la mesquinerie de l’appareil du parti socialiste français qui apparaît désormais comme une machine à lancer des anathèmes, sur fond de rancœurs et de mesquineries. Nicolas Sarkozy fait aussi d’une pierr...
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