07 décembre 2005, 0h00
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Moritz Leuenberger, c’est l’antithèse de Christoph Blocher. L’un fait dans la finesse et l’autodérision, l’autre dans la roublardise et le dénigrement. Le premier est un citadin élégant à la culture internationaliste et élitaire, le second rêvait d’être paysan et cultive le goût du terroir jusque dans sa passion de collectionneur. S’il fallait choisir une comparaison animale, on dirait que l’un tient du chat, l’autre du chien.
Dans la nature, ils s’éviteraient mais, comme on est en politique, C...
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