21 mars 2000, 0h00
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Cuba, ses plages, ses cigares, son Fidel Castro et ses discours sur le socialisme. La nostalgie de la révolution de 1959 avec la prise de pouvoir par les barbudos imprègne encore si radicalement le visage de l’île que même le musée de la Révolution à La Havane, aux vitrines pourtant largement jaunies et aux photos racornies, intéresse encore son lot de visiteurs. Et ce ne sont pas tous des touristes.
Mais l’île n’est pas si rétive que cela aux enseignements de l’Oncle Sam. Son goût immodéré pour...
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