15 février 2007, 0h00
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Ben Bernanke a parlé et les marchés ont réagi comme le chien de Pavlov. Un effet mouton qui s’est opéré sur fond de dollar faiblissant, avec un euro à son plus haut niveau depuis début janvier. Les observateurs les plus «réalistes» trouveront toutefois de bonnes raisons de rester sur leurs gardes. L’enthousiasme a tout d’un entraînement à court terme, laissant entrevoir une correction à moyen terme. D’autant que la remontée des Bourses s’effectue alors que les volumes affichent une tendance nett...
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