28 juin 2000, 0h00
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Hier, nous remarquions dans cette même chronique combien la politique d’aide au développement ressemble aujourd’hui à du pilotage automatique: un pays reçoit de l’aide selon qu’il est ou non démocratique. La pensée, avec tous les apports de la culture de la sociologie ou de l’économie n’intervient plus, car une procédure mécanique à pris sa place qui, à partir de sondages ou de graphiques conduit à des conclusions froides et anonymes. On fera les mêmes remarques à propos du rapport du Conseil de...
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