27 août 2010, 0h00
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C'est plutôt la discrétion qui prévaut du côté du suédois Saab (Gripen), du français Dassault (Rafale) et de l'européen Eurofighter (EADS) aux lendemains du report de la décision d'achat des nouveaux avions de combat (L'Agefi d'hier). A Muri (BE), où siège le lobbyste de l'avion européen EADS, fruit d'une coopération entre l'Allemagne, la Grande-Bretagne, l'Italie et l'Espagne, on renvoie la balle à la maison-mère à Münich, où l'on se tâte encore. De Suède, le groupe Saab annonce sa volonté de r...
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