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Le segment de la haute horlogerie demeure la chasse gardée d’une poignée d’entreprises helvétiques

Seules treize marques remplissent les critères exigés. Richemont et Patek Philippe disposent de plus de la moitié des parts de marché.

23 avril 2001, 0h00
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Si le savoir-faire helvétique en matière d’horlogerie tient une bonne place parmi les lieux communs que l’on attribue généralement à notre pays, une étude publiée récemment par la Banque Pictet & Cie, réaffirmant le rôle de leader des entreprises suisses dans ce domaine, apporte néanmoins un éclairage intéressant sur la situation de la «haute horlogerie». D’un point de vue économique, ce segment demeure pour l’instant relativement méconnu en raison des difficultés inhérentes à son évaluation. La...
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