15 novembre 2007, 0h00
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«Si nous n’investissons pas maintenant, d’ici 2010 nous assisterons à la baisse de la production russe.» Déjà que la production du géant Gazprom stagne aux alentours de 555 milliards de m3. Et que la pénurie semble programmée sur les marchés gaziers avant 2020. Pour Elena A. Telegina, directrice de l’Institut russe de géopolitique et de sécurité énergétique, membre de la direction de l’Union russe des exportateurs de pétrole, les enjeux sont bien technologiques, mais pas seulement au niveau du ...
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