26 octobre 2009, 0h00
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Nationaliser un établissement financier qui ne répondrait plus à ses obligations et se retrouverait menacé d’insolvabilité: c’est l’une des mesures prônées par l’économiste Jean-Pierre Ghelfi, président de la Banque cantonale neuchâteloise, pour limiter le risque d’une nouvelle crise financière. Une nationalisation pas forcément durable, mais qui pourrait entraîner, pour les actionnaires, «la perte de l’entier de leur mise», seul moyen selon le Neuchâtelois pour que ceux-ci soient véritablement ...
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