20 avril 2009, 0h00
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Dans le bestiaire politique, les secrétaires généraux des partis sont toujours des animaux spéciaux. Une sorte de mouton à cinq pattes. Le mot faire rire le politologue Tim Frey, nouveau secrétaire général du PDC suisse. «C’est assez vrai. Il doit être capable de tout faire. C’est le côté usant mais surtout passionnant du job.» Il est en poste depuis moins de trois semaines et il voit déjà l’immensité de la tâche. Animer les séances de coordination, visiter les sections aux quatre coins du pays,...
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