27 décembre 2001, 0h00
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Il a la réputation d’être le gardien du temple des finances publiques, le «Père la rigueur» budgétaire. Mais Kaspar Villiger ne se reconnaît pas trop dans cette stricte image. Après avoir été brillamment élu à la présidence – par 183 voix sur 203 bulletins distribués – et avant d’entamer son règne, lui qui entame sa 13e année au Conseil fédéral, il clame à l’agefi son optimisme par-delà les turbulences du moment.
Votre collègue Moritz Leuenberger termine une année présidentielle marquée par plus...
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