25 août 2008, 0h00
Partager
Le président de la banque privée zurichoise Julius Bär, Raymond Bär, revient sur le secret bancaire dans un entretien accordé à la SonntagsZeitung. Il accuse les critiques étrangères de ne pas jouer cartes sur table. «Les critiques n’agissent pas selon des standards moraux ou éthiques, ou de pure économie politique», a affirmé Raymond Bär. «Elles relèvent de la politique de la force. Ce sont d’abord des Etats déficitaires aux impôts élevés qui critiquent la Suisse», a-t- il poursuivi. «On peut t...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT