05 juin 2001, 0h00
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L’édifice social suisse peut à peu près être considéré comme «durable». Autrement dit, en termes financiers s’entend, sa pérennité semble assurée sans peser inéquitablement sur les générations futures. Telle est la conclusion qu’on peut prudemment tirer du premier «bilan intergénérationnel» pour la Suisse, présenté hier par le Secrétariat d’Etat à l’économie (SECO). La méthode est purement comptable, et se fonde sur l’ensemble des flux financiers qui transitent par l’Etat. Elle permet de détermi...
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