31 mars 2006, 0h00
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Malheureusement pour les investisseurs, il sera difficile de capitaliser sur les bonnes nouvelles concernant l’économie suisse. Certes, la révision des pronostics de croissance du Secrétariat d’Etat à l’économie (seco) pour cette année de 1,8% à 2%, qui confirme la vigueur de la conjoncture helvétique, déjà mise en évidence par les deux grandes banques, est de nature à renforcer la confiance. Mais la Suisse n’est pas l’Allemagne, un grand pays qui abrite de grands acteurs, comme des assureurs,...
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