15 septembre 2008, 0h00
Partager
Nyon, mercredi soir, les nuages cachaient les sommets environnants. Un guitariste amateur égayait par des reprises de Cat Stevens les habitués se désaltérant au bar Latino. Deux enfants s’essayaient à des chevauchées fantastiques sur un cheval mécanique. Le plus jeune d’entre eux, âgé d’environ trois ans, demande à sa maman de la monnaie pour enchanter le manège. Réponse de la dame dans un accent très british: «Tu n’as pas besoin d’argent pour faire semblant.» Les chaudes larmes du minot coulent...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT