12 mai 2010, 0h00
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Les moyens massifs mobilisés ces derniers jours ne changent rien au fond du problème. Le drame économique et financier, et bientôt politique, que vit la Grèce était tellement prévisible, et prévu par de bons esprits, que les larmes de crocodile qui sont versées aujourd’hui au chevet du malade de l’Europe prêteraient à sourire si le drame ne risquait de tourner malgré tout à la tragédie. Non seulement pour la Grèce, mais aussi pour toute l’Europe. Pourquoi était-il prévisible? Parce que la constr...
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