16 octobre 2008, 0h00
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Alors même que la Bourse de Londres n’avait pas encore repris sa chute vertigineuse (-7,16% hier), stoppée provisoirement lundi et mardi par l’annonce d’une nationalisation partielle d’une partie du secteur bancaire britannique, les critiques commençaient déjà à tomber sur la pertinence de cette recapitalisation géante. Quelque 37 milliards de livres, auxquels il faut ajouter 250 milliards de garantie des prêts interbancaires (une trouvaille de Brown reprise un peu partout), et 200 milliards de ...
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