05 mai 2011, 0h00
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Partout autour de nous, nous voyons des crises de communication. Depuis la crise financière, les deux grandes banques suisses combattent leur mauvaise réputation à grand renfort de millions. Les agriculteurs sont considérés comme des escrocs avec leurs subventions allant jusqu'à un demi-million de francs. Et le secteur de l'énergie, qui a davantage misé sur le nucléaire que sur le solaire et d'autres énergies vertes, a dû avaler une pilule amère avec Fukushima. Dans le même temps, le Conseil féd...
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