27 avril 2006, 0h00
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La décision du Conseil fédéral, hier, de limiter le gonflement de l’Etat central de 3% par an jusqu’en 2015 est à accueillir avec réserve. Car non seulement cet objectif ne repose encore sur aucune priorité concrète, mais il aligne arbitrairement la hausse des dépenses étatiques sur la croissance économique attendue (lire également en page 5). Etait-il dès lors opportun de communiquer un tel nombre «stratégique» avant même d’avoir entrepris le moindre effort d’assainissement durable d’une Conféd...
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