26 novembre 2010, 0h00
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L'Accord Bâle III innove en ce sens qu'il prend en compte, pour la première fois, le risque systémique au moyen d'un ratio de sécurité ou de protection. Il explique que puisqu'il s'agit d'un risque endogène, il ne peut être couvert que par une exigence complémentaire de fonds propres qui, en l'espèce, a un caractère forfaitaire. Il précise encore que les établissements systémiques sont ceux dont la défaillance entraîne un dysfonctionnement majeur du système financier qui a pour effet de bloquer ...
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