26 octobre 2004, 0h00
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Beaucoup d’argent circule actuellement dans le private equity. Considérez, par exemple, l’offre de 1,5 milliard de livres proposée par un consortium sous la direction de Goldman Sachs pour la reprise de Warner Chilcott. Il est vrai que l’alliance entre un cash-flow élevé et une dette nette négligeable rend le fabricant britannique de spécialités pharmaceutiques particulièrement alléchant aux yeux du private equity. Toutefois, le groupe se révèle plus risqué que les cibles classiques du private ...
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