08 mars 2000, 0h00
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A une semaine de la décision de la Commission européenne sur la fusion entre Algroup, Pechiney et Alcan, les couloirs continuaient à bruisser de rumeurs hier à Bruxelles. Même en cas d’échec, Algroup ne devrait pas se retrouver le plus isolé.
Aux yeux des analystes, le français Pechiney – actuel numéro trois de l’aluminium mondial – est le plus menacé par une mise à l’écart de la méga-fusion. Selon une rumeur persistante, Bruxelles serait en effet prête à accepter le rapprochement entre le suiss...
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