18 mai 2010, 0h00
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S’intéresser à la Russie doit sembler périlleux. Beaucoup préfèrent insister sur les côtés imparfaits de la démocratie russe, l’importance de la corruption dans le pays (146è place en 2009 du classement établi par l’ONG Transparency International), la médiocrité d’une administration pléthorique qui tourne à vide et se révèle incapable de s’attacher à la résolution des problèmes pratiques de son ressort et. Bien sûr la corrélation de l’économie et donc de la devise au pétrole peut inquiéter. Une ...
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