17 mai 2001, 0h00
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Les jeunes salariés des «pointcom», ces petites sociétés internet souvent créées à partir de rien, déchantent après avoir rêvé de faire fortune dans la Silicon Valley.
«Non, je ne suis pas amer» dit James Fisker, concepteur indépendant de sites web à San Francisco, venu du centre des Etats-Unis il y a cinq ans. Les affaires de James Fisker ont été quasiment réduites à néant en janvier quand les «pointcom» ont commencé à licencier. «J’étais pourtant certain que je finirais dans une grande maison ...
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