26 mai 2009, 0h00
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Au fil du cheminement de la crise, un discret protectionnisme se fait plus présent dans les pays riches. Cela va de pair avec le genre de slogans déjà entendus en Grande-Bretagne: «les emplois britanniques aux travailleurs britanniques». Etonnamment, et plus vite que l’on pense, Hongrois et Polonais, tout comme les Espagnols, après avoir largement profité des avantages européens, pourraient se replier sur leur pays afin d’exploiter pour eux seuls les subventions attribuées par leur gouvernement....
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