20 juin 2001, 0h00
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La globalisation n’est plus ce qu’on croit. Le capitalisme sans frontières, la finance sans contrôle détruiraient la culture et la nature. Outre qu’elle est nuisible, comme on vient de le voir à Göteborg et comme on nous le promet à Gênes, cette dénonciation politiquement correcte ne tient pas compte des dynamiques nouvelles du droit.
Excès il y a parfois, mais la globalisation sans contrôle des échanges marchands, l’allocation libre du capital sont de moins en moins unilatérales. Des forces s’a...
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