21 décembre 2004, 0h00
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Le jeu chinois du Mah Jong enseigne que lorsqu’on attend une pièce bien précise pour conclure victorieusement la partie, celle-ci a tendance à ne jamais apparaître. En 2004, les investisseurs misaient sur une remontée des taux longs qui s’est dérobée durant toute l’année, au grand dam des portefeuilles obligataires trop orientés sur les échéances courtes. Pour 2005, nombreux sont les opérateurs qui tablent sur un sursaut de la volatilité des majeures places boursières, et de Zurich en particulie...
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