11 août 2005, 0h00
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Les attentats de Londres et de Turquie ont propulsé sur le devant de la scène les vieilles idées selon lesquelles les régimes autoritaires sont mieux équipés que les démocraties pour lutter contre le terrorisme et que de telles attaques sont le prix à payer pour notre liberté. Pour certains, c’est un prix qui vaut d’être payé, pour d’autres ces coûts sont trop élevés.
Les sociétés ouvertes ne sont pas plus exposées
Pourtant, historiquement, les démocraties possèdent un arsenal bien plus effica...
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