07 janvier 2000, 0h00
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Adolf Ogi avait donné le ton lors de son allocution du 1er janvier: en Suisse, l’an 2000 sera ferroviaire ou ne sera pas. C’est en effet à côté du tunnel du Lötschberg que le nouveau président de la Confédération a communiqué ce que sera la Suisse de demain. Un pays qui a «confiance en l’avenir et qui apporte sa contribution à l’Europe en construction», non par le biais de la bio-informatique, de la vie artificielle ou des technologies de l’information – bref, des domaines les plus stratégiques ...
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