30 novembre 2007, 0h00
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Deux bonnes nouvelles hier: le chômage a reculé en Allemagne et la croissance du PIB américain a été révisée à la hausse (4,9%). Conclusion: dans un climat morose où tout le monde parle de crise, les fondamentaux restent solides. Mais pas de la même manière. La dépréciation du dollar d’un côté, l’appréciation de l’euro de l’autre ont des effets opposés. Dans le Nouveau-Monde, la croissance du PIB est due aux exportations et aux investissements des entreprises. Au pays de Goethe, c’est la demande...
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