18 mai 2011, 0h00
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L'option d'un rééchelonnement de la dette de la Grèce détenue tant par des créanciers publics que privés a encore gagné en vigueur mardi en Europe, face aux difficultés du pays à sortir de la crise, même si la France se refuse pour l'heure à envisager ce scénario.Plusieurs responsables ont ouvert la voie à une telle possibilité, à condition toutefois qu'Athènes donne des gages en privatisant beaucoup plus vite que prévu pour renflouer ses caisses, et en économisant davantage afin de tenir ses pr...
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