15 octobre 2007, 0h00
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Depuis le 18 septembre – date de l’intervention à la baisse de la Fed – le vocable «record» n’aura jamais été aussi usité. Et, paradoxalement, tant pour qualifier les performances des indices boursiers à travers le globe que celles des matières premières. Des sommets jamais atteints qui traduisent un sentiment d’optimisme croissant sur les perspectives de l’économie mondiale et une abondance persistante de liquidités que récoltent justement les marchés actions et ceux des matières premières. Tou...
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