02 août 2007, 0h00
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«Désastreux». L’adjectif s’applique au mois de juillet. Et a été prononcé par le CEO du raffineur italien Saras, Dario Scaffardi. «Nous nous attendions à un déclin, mais pas à une si grande glissade.» La semaine dernière, lors de la présentation des résultats de son groupe, le CFO de Shell, Peter Voser, n’a pas dit autre chose en soulignant que si les marges US Gulf Coast ont décliné, celles de Rotterdam et d’US West Coast avaient, elles, fortement chuté. Un secteur du raffinage qui a pourtant ...
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