01 février 2010, 0h00
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Il n’est pas venu au monde citoyen suisse, ni fils de radical, même s’il est fidèle à ce parti depuis 27 ans, lorsqu’il y adhéra à l’âge de 18 ans. «Mon identité est très claire, ce qui me donne la confiance nécessaire pour discuter sereinement avec d’autres partenaires», laisse entendre Patrick Malek-Asghar, le nouveau président des radicaux. Il se présente en partisan résolu d’un Etat fort, qui puisse jouer un rôle d’arbitre: «une posture qui nous distingue quelque peu des libéraux», lance l’a...
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