25 février 2009, 0h00
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Le président du Parti socialiste, Christian Levrat, n’a pas mâché ses mots hier, à propos de la gestion «désastreuse» de la crise entre UBS et les Etats-Unis. Il s’en prend en particulier à Hans-Rudolf Merz, président de la Confédération: son silence «incompréhensible» depuis jeudi dernier, après ses propos «grotesques» sur le maintien du secret bancaire malgré les pressions américaines.
UBS a dû livrer 300 noms de clients au fisc américain, on lui en réclame aussitôt 52.000 autres, alors que s...
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