29 juin 2000, 0h00
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Dans un climat alourdi par l’affaire Microsoft, et avant de décider du sort du mariage d’AOL et Time Warner, le refus de la fusion de WorldCom et Sprint par les autorités antitrust, pour une position dominante dans la connectivité internet, cache mal, du côté européen, des tentatives protectionnistes, sous le couvert de la défense du consommateur, et aux Etats-Unis une volonté de reprise en main de certains leaders du processus d’innovation.
Les autorités américaines prennent appui sur les décla...
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