03 octobre 2007, 0h00
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Après les grandes entreprises, pressenties pour assurer le lancement de Galileo, c’est au tour des capitales européennes de se chamailler sur le financement – et donc in fine les retombées industrielles – de ce projet européen appelé à concurrencer le tout-puissant GPS américain. Hier à Luxembourg, lors du Conseil des ministres du Transport de l’UE, c’est l’Allemagne qui a mené la fronde, suivie des Pays-Bas et du Royaume-Uni.
Berlin exige un programme à la carte
Le principal grief de Berlin: ...
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