03 juillet 2001, 0h00
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Le marché intérieur suisse n’est pas encore assez libéralisé ni assez ouvert. Soixante pour cent des prix y sont encore administrés par l’Etat et la concurrence n’y est pas assez affûtée. Le résultat en est des prix trop élevés, ce qui est préjudiciable tant pour l’économie que pour le consommateur. Pascal Couchepin en est convaincu, aussi a-t-il annoncé hier qu’il lancera une nouvelle offensive en vue d’un renforcement de la concurrence sitôt le durcissement de la lutte contre les cartels achev...
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