22 décembre 2005, 0h00
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On avait cru le plus grand procès pénal d’après-guerre en Allemagne fini et enterré. La Cour fédérale de justice du pays en a décidé autrement en se prononçant pour la tenue d’un nouveau procès dans l’affaire Mannesmann. Sur le banc des accusés, six prévenus ayant appartenu aux instances du conglomérat, dont Josef Ackermann patron de Deutsche Bank, soupçonnés d’avoir donné le feu vert au rachat de la compagnie par Vodafone en échange de primes totalisant 57 millions d’euros octroyés à ses dirige...
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