26 février 2004, 0h00
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120 mètres de classeurs fédéraux alignés, 132 pages de résumés de rapports de police, 72 pages pour l’acte d’accusation… A coup sûr, le procès qui s’ouvrira le 1er mars à Nyon restera dans les annales de la justice vaudoise. Et pas seulement pour la somme de travail occasionné au sein du Ministère public et surtout à la Sûreté vaudoise, laquelle a planché plus de six ans avant de parvenir à boucler son enquête. Non, si ce procès retient à ce point l’attention, si tous les regards convergent subi...
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