10 mai 2007, 0h00
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C’est une belle histoire qui a poussé sur le terreau d’un drame. Du haut de ses 22 ans, Lionel Perrier, français de naissance mais montreusien de cœur, regarde la vie avec l’optimisme qui sied à son âge et mène brillamment ses études d’architecture à Paris. Le ciel est bleu jusqu’au jour où les premiers nuages s’amoncellent et prennent la forme de malaises fréquents. «Son visage devenait soudainement très blanc et Lionel se plaignait d’avoir un goût très désagréable dans la bouche, explique sa m...
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