30 juin 2009, 0h00
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Comme d’autres, le private equity souffre de l’assèchement du crédit. Finies les transactions aux montants astronomiques. Si elle se fait plus discrète, l’industrie n’a pas pour autant disparu. En Suisse, les acteurs de la branche restent attentistes. «Les opportunités sont relativement rares et la concurrence de l’industrie est importante», explique Hans Van Swaay, fondateur de Lyrique, une société active dans le private equity et basée dans le canton de Vaud, rencontré lors de la conférence Su...
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