10 décembre 2004, 0h00
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«Le private equity s’avère encore trop insuffisant en Suisse. Surtout en comparaison du montant des fonds déposés dans le pays», a indiqué Barthélemy Helg, associé gérant chez Lombard Odier Darier Hentsch et Cie. Un constat que déplorent depuis de nombreuses années les entrepreneurs qui veulent se lancer dans le grand bain et qui cherchent un soutien puisque les banques rechignent à le faire.
Part du capital-risque très faible
Cette année, cet outil de financement pour les sociétés non cotées ...
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