21 juin 2006, 0h00
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Le rachat du Printemps par le patron d’un grand magasin italien peut être source de synergies, mais le repreneur devra respecter les particularités culturelles françaises et prendrait des risques à changer le nom de l’enseigne, car les grands magasins s’exportent mal, selon les experts.
Le groupe PPR négocie la cession de ses 17 grands magasins Le Printemps au président de La Rinascente, Maurizio Borletti, associé à un fonds détenu par la Deutsche Bank, pour 1,075 milliard d'euros. Dans les fa...
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