22 août 2005, 0h00
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Même dans leurs rêves les plus fous, les leaders de l’opposition n’ont jamais osé envisager que l’aventure du président Luiz Inacio «Lula» da Silva tournerait de façon aussi lamentable. L’élection de l’ancien ouvrier métallurgique, fin 2002, laissait espérer un Brésil plus équitable, la juste récompense de plus de vingt ans de militantisme au sein de la seule formation politique, le Parti des travailleurs, à jouir d’une image honnête, proche des «petites gens». En Amérique latine, cette élection...
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