05 septembre 2001, 0h00
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Il est des jours où l’on pourrait légitimement préférer faire un autre métier que celui de gouverner la France. La France où le chômage remonte, le déficit budgétaire se creuse, la croissance stagne, les 35 heures coûtent trop cher, l’insécurité avance, le problème corse s’embourbe, le passage à l’euro s’annonce mal… ne tirons plus sur l’ambulance. La situation n’est pas des plus enviables (voir ci-contre). Aussi, la cinquième rentrée politique du premier ministre a certainement été la plus labo...
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