03 mai 2004, 0h00
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La famille Agnelli, à travers sa société holding Ifil qui en possède 53,1%, n’a pas démérité en tant qu’investisseur dans Worms & Cie, du moins si l’on prend les 6 dernières années allant de 1998 à fin 2003. En effet, la valeur d’actif net réévalué par action après fiscalité et dividendes réinvestis a progressé de 11,8% par an.
Cela n’est pas si mal en comparaison pour cette période d’autres sociétés de participations telles qu’Eurazeo (dont un gros actionnaire est Michel David-Weill, partenair...
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